mardi 14 février 2012

Les dégueulasseries de la FAÉCUM

À mes ami-e-s de l'UdeM, je vous invite à écrire à votre association étudiante, la FAÉCUM, pour critiquer leur carnaval merdique qui, en plus d'avoir des pubs trash/sexistes/dégueulasses, encourage le vol de matériel d'autres assos étudiantes. Des étudiants et étudiantes dans le cadre du carnaval étudiant de la FAÉCUM, ont volé (pour avoir des "points") une bannière de haute qualité, ignifugée et modulable avec des dates interchangeable qui appartient à l'AFESPED-UQAM et l'ont jeté après coup. Cette bannière servait à afficher les dates d'assemblées générales. Le coût de production de ladite bannière était de plusieurs milliers de dollars. Merci de faire circuler dans vos réseaux.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

C'est bien dommage, mais s'il n'y a pas mention de noms, qu'il n'y a pas de sortie publique contre ces crétins, j'hésite à porter le message.

J'ai une honte insoutenable d'être membre d'une institution gouvernée par des enfants qui baignent dans une culture de l'agression, de la méfiance et de l'hypocrisie. Je ne doute pas une seconde que ce soit arrivé, mais je me vois mal aller parler à nos amis de la FAÉCUM de tout cela avec une rumeur à l'appui, sachant à quel point ils ont confiance en leurs membres.

J'encourage fortement ceux qui ont répandu ces informations à persévérer dans leur combat et de faire circuler plus d'informations afin que l'on puisse exposer ceux et celles qui ont commis ce vol ainsi que tous les complices.

Mouton Marron a dit…

Comment ça s'est passé exactement? comment a-t-on appris ces informations?

En d'autres situations, j'aurais accusé le gouvernement de diviser le mouvement étudiant, mais là, les étudiant-e-s le font très bien eux-mêmes.

Bakouchaïev a dit…

MM : les étudiants et les étudiantes n'ont jamais été uniEs, car plusieurs sont plus proches du gouvernement que de la communauté étudiante. Quand t'aspire à un poste de pouvoir dans la vie.

+ les différences entre les classes sociales au sein des institutions d'enseignements sont flagrantes. Bien qu'au final l'importance n'est pas tant l'origine sociale que la classe à laquelle on s'identifie.

Pour ce qui est de leur écrire, ce n'est pas de lettres que ces gens là ont de besoin.